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Founded in London in 1983 by three partners, we now employ more than 1,000 professionals worldwide. We advise and support global companies that are leaders in their industries.
Frequently Asked Questions
We help entrepreneurs get ready to raise capital. Please note that we cannot help our clients raise capital. This usually consists of some or all of our services. This is a service that is heavily regulated.
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Je suis Tresor MUKUNA, de Kinshasa, nouveau au Canada. Je viens ici pour témoigner ma gratitude auprès du président de la communauté ainsi que de son équipe pour nous avoir témoigné leur solidarité de près ou de loin. Nos remerciements les plus sincères et les plus chaleureux également à papa Donat pour sa disponibilité, de nous avoir bien orienté à l’intégration au Canada, un grand merci pour tout, papa. Nous remercions également tout le monde ici pour votre solidarité.
Nous sommes ensembles.
Tresor MUKUNA
Nouvel Arrivant, CCH
Salut chers membres de la Communauté Congolaise de Hamilton, je suis nouveau arrivant vivant à Milton, vraiment, je suis très reconnaissant par l’accueil et l’orientation de notre communauté. Grâce à la communauté, j’ai un contrat de travail. J’en profite aussi pour remercier M. Donat et le président pour m’avoir aidé à avoir un travail.
Junior Kasongo
Nouvel Arrivant, CCH
Company News
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2025: THÈME – Cohésion et Unité
Le thème de cette année, « Cohésion et Unité », fait référence à la force des liens entre les membres, à leur sentiment d’appartenance et à leur capacité à travailler ensemble efficacement pour atteindre des objectifs communs alors que notre nation est confrontée à une crise humanitaire suite aux hostilités de guerre, en particulier dans sa partie orientale de la République Démocratique du Congo.
23 juillet 2025Read More -
L’art au service du mieux-être
Le 10 mai, à Hamilton, un atelier d’art inédit a permis aux nouveaux arrivants francophones d’évacuer les tourments rencontrés dans leur parcours d’immigration. L’activité de guérison avait pour objectif de favoriser le bien-être émotionnel essentiel à une bonne implantation et un bon épanouissement au Canada. Yolande Melono – IJL Réseau.Presse – Le Régional de Hamilton-Niagara La peur, la solitude et le stress comptent parmi les principaux obstacles à une intégration réussie des immigrants francophones au Canada. Pour les nouveaux arrivants congolais, les défis sont encore plus grands : en plus des difficultés liées à leur établissement dans un nouveau pays, ils portent souvent les blessures psychologiques laissées par la crise persistante en République démocratique du Congo (RDC). Pour répondre à ces défis, la Communauté congolaise de Hamilton (CCH) et ses environs a organisé, le 10 mai, un atelier de réparation original intitulé Thérapie par la peinture. Cette initiative créative visait à apaiser, par l’expression artistique, les blessures vécues par les immigrants, tout en les soutenant dans leur parcours d’intégration. Soutenue par la Communauté francophone accueillante (CFA) de Hamilton, l’activité a été animée par l’artiste-peintre Crystalle Katanga et la formatrice en éducation spécialisée Ilda N’sele. Avant de coucher leurs émotions sur la toile, les 15 participants originaires du Cameroun, de la RDC et de la Côte d’Ivoire ont bénéficié d’une formation animée par Ilda N’sele portant sur le tableau de régulation des émotions. Composé de quatre couleurs (bleu, vert, jaune et rouge), ce tableau permet d’associer chaque teinte à un état émotionnel précis. L’objectif de la séance était d’aider chacun à identifier la zone dans laquelle il se trouvait et à développer des stratégies pour atteindre la zone verte, symbole de calme, de confort et de bien-être. Les personnes situées dans la zone bleue éprouvent souvent de la peur, de la tristesse ou traversent un état de malaise. Pour les aider à retrouver un mieux-être, il est conseillé de leur offrir des environnements calmes, d’écouter de la musique apaisante et de pratiquer des exercices physiques. Dans la zone jaune, en revanche, les personnes ressentent une certaine agitation ou excitation. Pour favoriser un retour au calme, on peut utiliser différentes stratégies : respirer profondément, boire un grand verre d’eau, demander un câlin, échanger quelques mots avec quelqu’un et prendre le temps d’écouter sa réponse. Enfin, les personnes se trouvant dans la zone rouge traversent une crise émotionnelle intense. Mieux vaut éviter toute tentative de dialogue à ce moment-là, car elles ne sont plus réceptives. Il est préférable de leur accorder du temps et de l’espace, tout en assurant une présence attentive et sécurisante. Par la suite, les participants ont créé un collage de visages illustrant les différentes émotions présentées sur le tableau. Puis, au cœur de l’activité, ils ont été invités à exprimer leurs ressentis à travers la peinture. Chacun a choisi une seule couleur représentant l’émotion qu’il vivait à ce moment-là. « Une dame a dit qu’elle ne savait pas dessiner. Je lui ai dit : Madame, prenez juste la peinture, faites tout ce que vous voulez avec une seule couleur. Elle a commencé à dessiner avec le bleu. Ensuite, elle m’a demandé si elle pouvait ajouter une autre couleur. J’ai répondu par l’affirmative. Elle est allée chercher du vert. Par cet acte, elle a démontré qu’elle était dans un état de peur parce qu’elle ne savait pas dessiner. Quand elle s’est sentie relaxée par la peinture, elle a voulu changer de zone et se situer là où elle se sentait mieux », a indiqué Mme N’sele. « C’était une belle initiative, ajoute la Congolaise Mira Ekakola. J’ignorais que si je suis en colère, stressée, je devais prendre un crayon de couleur, un papier et dessiner. J’ai découvert ma propre zone d’émotion qui est le vert et le bleu. Maintenant je sais quoi faire pour maîtriser mes émotions. » Après avoir exprimé les émotions enfouies en eux, les personnes immigrantes se sentaient transformées, plus légères et apaisées. « Les participants ont appris des moyens simples pour retrouver la zone verte, celle du calme et du bien-être. Ces outils leur ont permis de renforcer leur espoir et leur estime personnelle », a souligné Nancy Muinda, présidente du CCH. À l’issue de l’atelier, les nouveaux arrivants ont exprimé le souhait de revivre cette expérience, qui leur a apporté bien-être, réconfort et l’élan nécessaire pour poursuivre leur parcours d’intégration au Canada. Photo : Les visages collés sur les tableaux de régulation des émotions (Crédit : CCH)
20 mai 2025Read More -
La communauté congolaise trace la voie pour un centre culturel à Hamilton
Alexia Grousson La Communauté congolaise de la région de Hamilton (CCH) a tenu son assemblée générale annuelle, le samedi 7 décembre, au centre Rafiki, afin de présenter son bilan de la dernière année et de ses activités. Afin de remercier le conseil d’administration pour son travail, un certificat d’excellence et un souvenir ont été remis à Jean-Jacques Somwe, Sarah Alangi, Erlinde Mulumba, Donat Lumpatshie et Nancy Mwinda Tshibola. Concernant les activités de l’année, la CCH a participé ou organisé les activités suivantes : Journée de l’Afrique en mai, soirée de gala célébrant l’anniversaire de l’indépendance du Congo en juin, festival Afro Jazz en juillet et soirée des Fêtes en décembre. Les Congolais ont aussi organisé des activités pour les aînés afin de les aider à sortir de l’isolement telles que des marches de santé suivies de barbecues, et ont coordonné des discussions variées dont celle intitulée Le français dans nos foyers. Avant de conclure l’assemblée annuelle, le président Jean-Jacques Somwe a évoqué un projet qui permettra de pérenniser la culture congolaise : « Le conseil d’administration a proposé un plan pour préserver notre culture. Nous sommes convaincus que la construction d’un centre culturel au cœur de Hamilton serait une solution à ce défi. » L’objectif à long terme serait l’investissement dans la jeunesse et l’augmentation de la capacité de gérer des opérations grâce à un financement régulier. Enfin, M. Somwe, en poste depuis 2018, a annoncé qu’il cédait sa place à la présidence de l’organisme à Nancy Muinda Tshibola, directrice générale de la CCH. Licenciée en psychologie et en sciences d’éducation spécialisée, elle travaille auprès des élèves ayant des difficultés d’apprentissage, d’adaptation et des troubles du comportement. En 2019, elle a fondé une organisation à but non lucratif dont la mission est d’aider les personnes vulnérables dans divers secteurs en République démocratique du Congo. « Ces années passées à vos côtés ont été marquées par des défis, des victoires et une détermination collective à bâtir une communauté forte et solidaire. Ensemble, nous avons surmonté des moments difficiles, telle que la pandémie de COVID-19 et nous avons réussi à créer des souvenirs mémorables. Grâce à vous, la jeunesse de notre communauté s’implique davantage et la visibilité de la CCH rayonne. Un nouveau chapitre s’ouvre pour l’organisme, mais je resterai proche pour soutenir certains projets et continuer d’œuvrer pour notre communauté », conclut le président sortant sur les réseaux sociaux. Photo (CCH) : Les participants à l’assemblée générale de la Communauté congolaise de Hamilton au Centre Rafiki. Source : Le régional.com
21 janvier 2025Read More -
Les Congolais de Hamilton sortent les aînés de leur routine
Alexia Grousson Un besoin inquiétant a vu le jour à la suite de la pandémie. Beaucoup d’aînés se sentent seuls et isolés. Ils n’ont plus de vie sociale et ne sortent plus de chez eux. Cela entraîne des conséquences négatives sur leur condition mentale et physique et plusieurs maladies peuvent en découler. Pour pallier ce problème, le 17 août, la Communauté congolaise de Hamilton (CCH) a organisé une marche suivie d’un barbecue au parc Bayfront. « Étant un expert en santé publique, je connais bien l’importance d’avoir une vie saine. Le stress social remarqué chez nos aînés peut entraîner, par exemple, des problèmes de tension ou l’augmentation du diabète. C’est pourquoi avec notre communauté, nous avons décidé de créer un projet de lutte contre l’isolement afin de soutenir nos personnes âgées et de les conscientiser sur ces problèmes existants et sur les bienfaits d’avoir une activité sportive et sociale », mentionne Jean-Jacques Somwe, président de la CCH. Les membres de l’organisme s’étaient donné rendez-vous au parc Bayfront à 10 h pour faire une marche d’environ deux heures. En chemin, ils se sont arrêtés plusieurs fois pour observer la nature. « Cet endroit est magnifique et c’est important de prendre le temps de méditer sur ce que l’on voit », ajoute-t-il. Au même endroit, le comité social de la CCH a poursuivi l’activité en offrant un barbecue composé de viandes diverses accompagnées de salades et de fruits. Le message se voulait être clair, même à travers la nourriture : manger sain est également un aspect important pour la santé en général. Après le repas, les participants ont joué à des jeux calmes. Certains étaient plus intellectuels comme le jeu des dames et d’autres plus plysiques comme lancer un ballon dans un trou au loin. « L’objectif de ces jeux était de s’amuser tout en socialisant. Nous voulions favoriser l’esprit d’équipe plutôt que la compétition. Avec le beau temps, je peux dire que ce fut un succès », poursuit le président de la CCH. Pour se sentir à l’unisson, le comité social avait demandé aux participants de porter un chandail blanc pour la journée. Le blanc étant le symbole de la santé. Si certains n’en possédaient pas, le comité leur en avait apporté un. « Nous voulions nous reconnaître et nous faire voir dans la communauté. Cela a fonctionné. Par exemple, une dame est venue nous aborder pour savoir ce que nous représentions. Francophile, elle aurait aimé se joindre à nous. Cela nous donne des idées pour les prochaines activités. Nous pourrions ouvrir les marches à d’autres communautés et ainsi avoir plus de monde à nos côtés », conclut Jean-Jacques Somwe. Photo (CCH): Les participants étaient tous vêtus d’un chandail blanc. Source : Le régional.com
21 janvier 2025Read More -
L’état du français inquiète les Congolais de Hamilton
Richard Caumartin La communauté congolaise de Hamilton s’est réunie le 6 avril dans la salle paroissiale de l’église Notre-Dame du Perpétuel-Secours pour un gala mettant en vedette la langue française. En effet, le français était au cœur des discussions d’un panel d’intervenants communautaires qui ont partagé l’importance de la langue française dans la société canadienne d’aujourd’hui. La soirée « Le français dans nos foyers » était animée par la directrice gestionnaire de la communauté congolaise de la région, Nancy Muinda-Ishibola. Le mot de bienvenue, Nanou Kalombo qui a abordé l’importance de parler français à la maison. « Nous savons tous que les réalités linguistiques sont un défi au quotidien dans nos écoles, dans nos familles ou dans nos rencontres sociales. Selon le recensement de 2021, le français est la langue maternelle de 6195 résidents de Hamilton et la République démocratique du Congo est le premier pays source de l’immigration francophone, suivi de la France et d’Haïti. Nous assistons actuellement à une mondialisation des échanges intensifiant la langue anglaise. Cette réalité met la langue française en risque de disparaître à Hamilton, du moins dans les communautés ethnoculturelles de la municipalité. Si nous ne faisons rien pour la préserver ou la promouvoir, il ne nous restera plus rien », affirme Mme Kalombo. Ce cri du cœur un peu alarmiste reflète néanmoins une certaine réalité de la situation linguistique non seulement à Hamilton, mais dans toutes les grandes villes du Centre-Sud-Ouest. Au cours des cinq dernières années, les Congolais ont noté une baisse significative de l’usage du français comme première langue d’enseignement par les familles issues de la population francophone minoritaire d’origine africaine. « Cet état de fait ne facilite pas une meilleure intégration des nouveaux arrivants, dont la plupart se retrouvent au carrefour des langues française et anglaise, et finissent par abandonner le français au profit de l’anglais. « En 2022, nous avons identifié une dizaine de familles avec quatre enfants, en moyenne, au sein de la communauté congolaise de Hamilton qui ont décidé de changer la langue d’enseignement de leurs enfants pour l’anglais. Il est vrai que nous sommes minoritaires dans cette ville et cette situation constitue un défi majeur. « Il faut compenser ce déficit par une visibilité permanente avec des promotions et autres activités qui ciblent les résidents congolais pour apprécier et être fiers de parler et d’utiliser le français comme moyen de faciliter le développement ou une meilleure intégration », conclut Nanou Kalombo. Ce témoignage a été suivi de témoignages d’invités qui appuient les efforts de francisation de la communauté, dont Ghayt El Gouach, agent de projet des Communautés francophones accueillantes (commanditaire du gala), et Frédéric Bergeron, surintendant de l’éducation au Csc MonAvenir. Puis, avant le souper et la danse, les panélistes ont débattu du sujet du jour. Il s’agissait de Sylvie Korolenchuk (cofondatrice de la fondation Mwinda en RDC), Hugues Hervé Kenhefa (vice-président de la communauté camerounaise), Darling Alexandre (Haïtienne enseignante au secondaire), Chairh Guei (Ivoirienne gestionnaire au Collège Boréal), Didier Mpiana (professionnel dans le domaine des nouvelles technologies pour le Cs Viamonde), Micheline Kinzola (Congolaise et employée du Centre francophone du Grand Toronto) et Hilda N’sele Mukele (Congolaise et travailleuse avec les enfants ayant des besoins particuliers). La préservation de la langue française dans un milieu multiculturel était au cœur des divers témoignages et pour conclure la discussion, tous étaient d’accord sur le fait que l’avenir de la langue française passe par l’Afrique dont 500 millions d’Africains parleront le français d’ici 2030. Il reste important pour les parents d’enseigner la langue maternelle aux enfants issus des diverses communautés culturelles et de conserver le français à la maison comme deuxième langue. « Le renforcement de l’identité culturelle est primordial pour que les jeunes s’identifient à la communauté franco-ontarienne », insiste M. Kenhefa. « Nous voudrions que la langue française devienne un réflexe naturel chez nos enfants. Nous devrions communiquer avec eux en français et les intéresser à lire dans cette langue qui est pour chacun d’entre nous un capital culturel. Nous devrions demander d’avoir plus de livres de langue française dans les bibliothèques publiques », ajoute Mme Alexandre. En conclusion, les médias sociaux jouent un rôle prédominant dans l’anglicisation des enfants issus de l’immigration francophone. Les panélistes s’entendent sur le constat qu’il devrait y avoir plus d’opportunités sur les médias sociaux pour que les jeunes puissent s’exprimer en français. Il faudra créer plus d’applications intéressantes en français, des groupes de discussion et de la lecture en ligne pour les jeunes francophones. Source : Le régional.com
21 janvier 2025Read More -
La langue et la culture françaises sont des priorités pour les Congolais
Richard Caumartin La Journée canadienne du multiculturalisme, célébrée le 27 juin, rend hommage aux nombreuses communautés culturelles qui contribuent à bâtir une société canadienne forte et dynamique. Dans le Centre-Sud ontarien, ces communautés prennent de plus en plus d’importance dans la francophonie régionale. C’est le cas notamment pour la communauté congolaise qui a profité de l’occasion pour se rassembler dans le cadre d’une double célébration, le dernier jour de juin, à Stoney Creek. Avec l’appui de Communautés francophones accueillantes et du Centre francophone Hamilton, les Congolais ont fêté le 64e anniversaire de l’indépendance de leur pays d’origine et la Journée canadienne du multiculturalisme avec un gala ayant pour thème Le français dans nos foyers. Pourquoi ce thème? Parce qu’il explore les défis auxquels sont confrontés les familles issues des communautés ethnoculturelles francophones en général face à l’abandon de l’usage de la langue française comme première langue d’enseignement. « Cet état de fait ne facilite pas une meilleure intégration des nouveaux arrivants, dont la plupart se retrouvent au carrefour des deux langues officielles et finissent par abandonner le français au profit de l’anglais, explique le président de la communauté congolaise, Jean-Jacques Somwe. En revanche, ce thème propose une collaboration efficace des communautés ethnoculturelles francophones de la région en mobilisant leurs membres respectifs pour donner un nouveau souffle d’oxygène à l’usage du français dans nos foyers. » Animée par Nancy Tshibola et Éric Saïdi-Sadi, deux membres actifs de la communauté congolaise, la soirée a commencé avec l’interprétation des hymnes canadien et congolais, suivie d’une vidéo sur la République démocratique du Congo (RDC). Puis, M. Somwe s’est adressé aux invités. « Au cours des cinq dernières années, notre communauté a mobilisé plus de 100 000 $ pour venir en aide aux Congolais nouvellement arrivés qui traversent des moments difficiles. C’est la preuve d’un amour profond pour les nôtres. Nous devons être des ambassadeurs fiers de notre culture. Notre génération est responsable de préparer l’avenir de nos enfants. Le conseil d’administration est convaincu que la construction d’un centre culturel serait la réalisation d’un rêve et la solution pour fortifier notre culture et nos bases à long terme, affirme le président de la communauté congolaise. « À tous ceux qui croient que ce rêve est impossible, je dis que si les 5000 membres de notre communauté font un don de 10 $ mensuellement, ce que plusieurs font déjà pour soutenir notre organisme, nous encaisserons 50 000 $ par mois. Multipliez ce montant par trois et nous aurons près de deux millions de dollars, avec les intérêts, dans trois ans pour mettre en place une fondation durable et viser l’ouverture d’une Maison congolaise. Nos enfants profiteront alors d’une structure organisée pour l’avenir de notre communauté. La balle est dans notre camp! » Cette allocution a suscité des applaudissements nourris de l’auditoire. L’événement s’est poursuivi avec le discours de Julie Jardel du Centre francophone de Hamilton sur l’importance du français dans les foyers. Elle a parlé de son parcours d’immigrante de la France au Canada et de la nécessité de protéger son identité francophone et de promouvoir l’utilisation de la langue française en milieu minoritaire. Mme Jardel a fait une comparaison avec le mythe de la tour de Babel pour faire comprendre à l’auditoire l’importance de la communication pour une communauté en situation minoritaire. « On peut encore justement avec notre français devenir la fondation solide de cette tour qui est celle de communication et d’entraide communautaire. Au-delà de la communication, cette langue permet de transmettre nos valeurs, nos traditions et nos récits. Le français ne doit pas seulement survivre, il doit aussi prospérer. Chaque personne qui choisit de parler français contribue à garder cette langue vivante et dynamique. Nous avons la responsabilité de transmettre notre langue et notre culture à nos enfants. En le faisant, nous enrichissons notre identité culturelle. » Après les discours, les quelque 200 invités ont profité d’un buffet multiculturel. Des prestations artistiques de Congolais de la région, une vente aux enchères et une danse avec DJ pour célébrer les 64 années d’indépendance de la RDC ont alimenté une soirée remplie d’espoir pour l’avenir de cette communauté. Photo : Jean-Jacques Somwe, président de l’Association congolaise Source : Le régional.com
21 janvier 2025Read More -
2024: THÈME- Le français dans nos foyers
Ce thème explore les défis auxquels sont confrontées les familles issues des communautés ethno-culturelles francophones en général et en particulier la Communauté Congolaise de Hamilton et ses environs face à l’abandon de l’usage de la langue française comme première langue d’enseignement. Cet état de fait ne facilite pas une meilleure intégration des nouveaux arrivants, dont la plupart se retrouvent au carrefour des deux langues (anglaise et française) et finissent par abandonner le français au profit de l’anglais. En revanche, ce thème propose une collaboration efficace des communautés ethnoculturelles francophones de Hamilton en mobilisant ses membres respectifs afin de donner un nouveau souffle d’oxygène à l’usage du français dans nos foyers.
7 août 2024Read More -
2019: THÈME- Apprendre aujourd’hui, diriger demain: la jeunesse et sa connaissance de son pays d’origine
Cette année, le thème pour la journée de l’indépendance était « Apprendre aujourd’hui, diriger demain : la jeunesse et sa connaissance de son pays d’origine.» La CCH a fait de la question de la jeunesse une priorité. L’un des domaines d’amélioration immédiate est celui de donner aux jeunes des connaissances sur l’histoire…
22 avril 2024Read More -
2020: THÈME- Célébration virtuelle de l’indépendance : Union fait la force
Les 60 ans de l’indépendance de notre beau pays, la République Démocratique du Congo (RDC), était célébrée dans la soirée du Mardi 30 Juin, 2020 auquel tous les membres de la CCH étaient invités. Ladite célébration était virtuelle par le canal de Zoom. Parmi les invités de marque : (1) le représentant de la mairie de la ville de Hamilton …
22 avril 2024Read More -
2021: THÈME- Courage et détermination vers la prochaine normalité
Le thème choisit cette année pour bien nous accompagner dans nos réflexions et méditations du devoir patriotique est “Une diaspora pour le développement: L’apport de la Diaspora au développement de la RD Congo passe par une excellente intégration locale ».
22 avril 2024Read More
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